Intelligence artificielle générative : vers un nouveau régime de droit d’auteur?
Lien vers l’article: https://www.ethique.gouv.qc.ca/fr/actualites/ethique-hebdo/intelligence-artificielle-generative-vers-un-nouveau-regime-de-droit-d-auteur/Ce document de la Commission de l’éthique en science et en technologie du Québec (CEST) aborde les enjeux éthiques et légaux soulevés par l’émergence des IA génératives, comme ChatGPT et Midjourney, et leur impact sur le droit d’auteur. Ces questions sont analysées par l’entremise d’études de cas et d’exemples concrets. Il faut savoir que les IA génératives créent de nouveaux contenus à partir de données existantes. Qu’en est-il alors du droit d’auteur?Le document aborde également: les initiatives législatives internationales les débats en cours sur la reconnaissance des droits d’auteur pour les œuvres créées par l’IA les défis engendrés par l’utilisation d’œuvres protégées dans l’entraînement des IA les perspectives d’équilibrer les droits des créateurs avec les besoins d’innovation dans le domaine de l’IA. 😁 Ce qu’on aime :– L’article de la CEST, paru en septembre 2023, expose en quelques points la question du droit d’auteur associé aux usages de l’IA générative.– Le texte fournit une vue d’ensemble des développements récents dans différents pays, notamment au Canada, aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni, montrant une perspective mondiale sur le problème.– Les préoccupations des artistes et du milieu culturel en ce qui concerne l’IA générative et son impact potentiel sur le droit d’auteur sont abordées. 😐 Ce qu’on aime moins :– Le texte est un peu technique, ce qui peut rendre la lecture difficile.– Il mentionne diverses consultations, actions et cas en cours, mais ne fournit pas de mises à jour sur les développements ultérieurs, ce qui pourrait ne pas refléter la situation actuelle.– Le texte se termine par une conclusion qui suggère que des questions importantes nécessitent une réflexion, mais il ne propose pas de solutions claires ni de recommandations concrètes pour aborder les problèmes liés à l’IA générative et au droit d’auteur.– Certaines des idées, telles que la reconnaissance des IA comme auteures, sont évoquées sans approfondissement, laissant des questions en suspens.Article créé par: Florence Sedaminou Muratet, conseillère pédagogique chez Éductive
Lien vers l’article: https://www.ethique.gouv.qc.ca/fr/actualites/ethique-hebdo/intelligence-artificielle-generative-vers-un-nouveau-regime-de-droit-d-auteur/Ce document de la Commission de l’éthique en science et en technologie du Québec (CEST) aborde les enjeux éthiques et légaux soulevés par l’émergence des IA génératives, comme ChatGPT et Midjourney, et leur impact sur le droit d’auteur. Ces questions sont analysées par l’entremise d’études de cas et d’exemples concrets. Il faut savoir que les IA génératives créent de nouveaux contenus à partir de données existantes. Qu’en est-il alors du droit d’auteur?Le document aborde également: les initiatives législatives internationales les débats en cours sur la reconnaissance des droits d’auteur pour les œuvres créées par l’IA les défis engendrés par l’utilisation d’œuvres protégées dans l’entraînement des IA les perspectives d’équilibrer les droits des créateurs avec les besoins d’innovation dans le domaine de l’IA. 😁 Ce qu’on aime :– L’article de la CEST, paru en septembre 2023, expose en quelques points la question du droit d’auteur associé aux usages de l’IA générative.– Le texte fournit une vue d’ensemble des développements récents dans différents pays, notamment au Canada, aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni, montrant une perspective mondiale sur le problème.– Les préoccupations des artistes et du milieu culturel en ce qui concerne l’IA générative et son impact potentiel sur le droit d’auteur sont abordées. 😐 Ce qu’on aime moins :– Le texte est un peu technique, ce qui peut rendre la lecture difficile.– Il mentionne diverses consultations, actions et cas en cours, mais ne fournit pas de mises à jour sur les développements ultérieurs, ce qui pourrait ne pas refléter la situation actuelle.– Le texte se termine par une conclusion qui suggère que des questions importantes nécessitent une réflexion, mais il ne propose pas de solutions claires ni de recommandations concrètes pour aborder les problèmes liés à l’IA générative et au droit d’auteur.– Certaines des idées, telles que la reconnaissance des IA comme auteures, sont évoquées sans approfondissement, laissant des questions en suspens.Article créé par: Florence Sedaminou Muratet, conseillère pédagogique chez Éductive